JOUR1 Nous étions en cours, un cours très
JOUR1
Nous étions en cours, un cours très passionnant de révision sur les fonctions, le cours qui fait vibrer vous voyez. Je suis un spécimen rare qu’on croise assez peu de nos jours une espèce en voie de disparition : un élève sérieuse et je fais également partie d’une autre catégories plus répandue toutes classes confondues : les Boloss. Il se trouve que l'année dernière une nouvelle dénommée mademoiselle J est arrivée , depuis le debut elle m'embête . Ce premier jour la demoiselle me demanda comment comment j'allais de son hypocrisie incontournable . Je repondis aussi sèchement que je pouvais .
Puis ,mademoiselle J en me regardant droit dans les yeux dit a son acolyte Monsieur Y : « Pète lui dessus !». Dans le même temps monsieur S se plaça à ma droite. Je reçu en pleine face un jet de flatulences intempestives des deux cotés , une odeur nauséabonde m’envahit mais je restai calme et sereine de l’extérieur méprisant totalement ce geste tellement lycéen et mature . Mademoiselle J votre anus est-il en panne ? Pourquoi aviez- vous besoin de demander a votre très cher serviteur Y de faire les basses besognes ? Je me suis tu et ai réfléchi. Pourquoi Mademoiselle J aviez vous besoin d’une belle cible telle que moi ? Je ne compris pas. Je demandais alors a mes amies ce que j’avais a faire celles ci me dit : « fais toi petite ». Déjà que l’on me prend pour une sixième mais alors je devais retourner à l’école primaire. Mademoiselle J sachez que je sais que suis petite, j’ai mes qualités et mes défauts , vous ne pouvez certes pas me supporter mais est-ce vraiment une raison pour libérer l’anus de votre voisin ? Peut être avais –je commis un infraction contraire et grave à la loi des classes lycéenne et étant donnée ma bolossitude vous vouliez montrer à la classe entière mon incapacité a me défendre comme un être faible ou Votre supériorité de populaire ? Je tiens également a préciser que lorsqu’on veut quelque chose on le fait et on en a pas honte n’est ce pas mademoiselle J ?
Mon seul tord est celui d’exister telle que je suis n’en déplaise a mademoiselle J.